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Marilyn Meyer

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Marilyn Meyer
Marilyn Meyer
Messages : 5
Date d'inscription : 29/07/2013
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MessageSujet: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 7:32

FICHE DE PRÉSENTATION
Eos me voilà !
Marilyn Meyer. → 25-05-2479 :  ▬ âgé de : 25 ans (325 ans)  ▬ Sexe : Féminin  ▬ Orientation sexuelle : Lesbiennes ▬ Nationalité : Suisse/Française/Américaine  ▬ Métier : Décoratrice  ▬ Groupe : Voyageuse
CARACTÈRE & PHYSIQUE
CARACTÈRE
J'aime ce qui est fragile, évanescent, unique et charnel.

J'apprécie les êtres et lieux singuliers, irremplaçables, les atmosphères à jamais liées à des situations et à des moments.

Je suis persuadée qu'une part capitale de la morale consiste tout simplement à accepter d'être au monde, à ne pas fuir, à être là pour les autres et pour soi.
PHYSIQUE
Marilyn est une exentrique de naissance. Elle est peu conventionnel, voir même passé mode, mais son passé l'a forger ainsi et elle accorde peu d'importance aux autres. Elle a de long cheveux blond, une partie tresser sous des lunettes d'un style steampunk très vieux jeu et grandement passé date. Elle porte un haut en cuir serrer brun et une jupe longue assortie à son haut. Elle porte un nombre incalculable de babiolle sur elle, que cela soit des bracelets, des coliers ou des boucles d'oreilles, vous pouvez être sur que les gens vont l'entendre arriver.
ONCE UNPON A TIME
HISTOIRE
"La mort vient flotter au-dessus de moi
Et elle murmure au creux de mon oreille
Avec des mots que je ne comprends pas
La promesse de douleurs sans pareilles."

Mon père était un criminel en fuite ; c’est du moins ainsi que ma mère m’a toujours présenté la chose. Les soirs où elle était en veine d’élan maternel elle m’expliquait, en chuchotant, que Daddy avait fait partie du Weather Underground.

C’était l’un de ces weather men qui, à une époque lointaine, avait fait trembler le gouvernement des États-Unis en prônant la guerre. J’avais six ans. Ce Weather Underground levait dans mon imagination de gamine des images de tempêtes souterraines, d’ouragan dévastant les égouts d’une ville et faisant s’effondrer ses immeubles. Mon père, j’ignore quel nom il portait alors il avait fui les USA deux secondes avant que les autorités ne lui mette la main au collet. À partir de là, il s’était fondu dans la nature sauvage, les déserts glacés, là où aucun agent fédéral n’aurait le cran de venir le chercher. Il fut aidé en cela par ses capacités physiques et un talent tout particulier : c’était un grimpeur hors pair, un alpiniste de première force. Pour survivre, il devint guide de haute montagne et s’en alla exercer son métier au bout du monde. Il se faisait payer fort cher pour traîner des hommes d’affaires japonais au sommet du Chimborazo, de l’Aconcagua, du Kibo, du Godwin Austen ou du Nanda Devi. Ma mère, Anne Meyer, le rencontra lors d’une excursion. Elle était française mais vivait en Suisse. Récemment sortie des Beaux-arts, elle écrivait des contes pour enfants qu’elle illustrait elle-même. C’était une remarquable dessinatrice, mais qui vivait hors du réel, dans un monde peuplé de nains, de fées, de licornes, et autres sucreries qui m’enchantaient lorsque j’étais gosse. Elle avait peint sur les murs de son bureau une fresque représentant un paysage de châteaux médiévaux, et de vallons embrumés où des légions de gnomes s’affrontaient en un combat incertain. Assez curieusement, cet univers imaginaire semblait avoir pour elle plus de consistance que celui au sein duquel elle se mouvait. Je l’ai vue pleurer lorsqu’elle se voyait contrainte de faire mourir l’un de ses personnages, et cela alors même qu’elle accordait une attention distraite aux accidents dont j’étais victime (jambe cassée, péritonite, traumatisme crânien, j’en passe…). C’était assez étrange, pour une fillette d’une dizaine d’années, d’être en concurrence avec des individus n’existant que sur le papier. Souvent, je me glissais dans son atelier pour observer mes ennemis dont les visages me narguaient au centre des feuilles punaisées sur la table à dessin. Je devais lutter contre l’envie de les barbouiller de peinture noire. Je n’ai jamais osé, bien sûr. Mon instinct me soufflait qu’un tel acte plongerait ma mère dans l’hystérie, voire la démence, et qu’elle n’hésiterait pas une seconde à me balancer au fond du puits. Je n’avais pas confiance en elle. Elle était d’humeur trop changeante. Deux femmes l’habitaient, deux copropriétaires irréconciliables : la bonne fée, et Carabosse la sorcière. Au fil des heures, et sans qu’on sache pourquoi, elle devenait l’une ou l’autre, et le paradis devenait cauchemar. C’était assez déstabilisant. Je crois qu’elle se laissait posséder par ses personnages, sans même en avoir conscience. Bonne fée, elle répandait douceur et tendresse ; sorcière, elle devenait méchante, injuste et intolérante. Il ne fallait jamais la déranger lorsqu’elle travaillait dans l’atelier. Penchée sur la planche à dessin, elle entrait en transe. La maison aurait flambé qu’elle ne s’en serait nullement aperçue. Peu à peu, j’ai appris à subsister en marge, sans me faire repérer, en passagère clandestine de ma propre demeure. Nous vivions au pied des montagnes, à la lisière d’une station de sports d’hiver plutôt chic, dans un beau chalet de carte postale, jadis propriété d’une vedette du cinéma emportée par une avalanche.

Une matrone montait du village pour s’occuper du ménage et de la cuisine. Elle parlait le français avec un tel accent que je ne comprenais qu’un mot sur quatre, ce qui ne facilitait pas les rapports. De toute évidence, nous l’agacions ; les peintures de ma mère lui faisaient peur, elle les examinait en grimaçant. Quant à moi, je n’étais à ses yeux qu’une gosse de riches, une paresseuse pas même bonne à garder les vaches. Mon père, je le connaissais alors sous le faux nom de Harrison Crawford était souvent absent, occupé à hisser une cordée de cadres dynamiques texans à l’autre bout du monde. C’était un homme massif, tout en muscles. Une sorte d’ours adorable qui me racontait des histoires d’extermination indienne, d’esclavage et de guerre civile pour m’endormir. Sans doute espérait-il, par cette plongée dans un réel sans concession, contrebalancer l’atmosphère éthérée que les contes de ma mère installaient dans la maison ? Je me rappelle qu’il avait accroché au-dessus de mon lit le fac-similé d’une pancarte issue du Sud esclavagiste : À vendre, belle négresse avec ses deux marmots mâles, en parfait état physique. Peuvent être achetés séparément. Je garde de ses séjours un souvenir émerveillé et sans doute embelli de promenades dans la montagne, de pique-niques émaillés de fous rires. Probablement les choses n’étaient-elles pas aussi formidables que je m’obstine à le croire. Je pense aujourd’hui que de vives tensions opposaient mes parents. Dad soupçonnait maman de le tromper pendant ses absences. Il avait raison. Lorsqu’il était en voyage, la maison se remplissait d’une foule de parasites venus courtiser ma mère. D’anciens compagnons des Beaux-arts, des artistes malchanceux ou trop imbus de leur talent pour accepter de se « prostituer » en produisant des œuvres « commerciales ». Ils débarquaient par voitures entières, en brandissant des bouteilles de champagne, vêtus de costumes extravagants, comme pour le bal des Quat’z’Arts. Ces nuits-là, le chalet n’était plus que tapage, chansons obscènes et cacophonie musicale. On m’envoyait me coucher tôt, mais je redescendais en catimini et, tapie dans un placard, j’observais le manège des adultes par l’entrebâillement de la porte. Je voyais alors se poursuivre des hommes et des femmes nus, grimés de façon grotesque. Ma mère en faisait partie. Il m’arrive encore de la voir en rêve, avec pour seuls vêtements, ses yeux soulignés de khôl et les pointes de ses seins fardées au rouge à lèvres. Je m’éveille alors en sursaut et il est rare que je parvienne à me rendormir. Elle menait une vie libre, sans complexes ; elle avait pris très tôt dans le milieu artistique l’habitude de la sexualité de groupe. Ces excès lui permettaient d’affirmer son indépendance. Encore une fois, je le répète, il y avait deux femmes en elle. Celle qui vivait avec Dad, et l’autre… Je n’en ai jamais rien dit à mon père. Je sentais qu’une telle révélation aurait déclenché un drame. Daddy avait tout du Teddy bear, c’est vrai, mais il ne faut pas oublier que ce célèbre nounours, fabriqué en l’honneur du président Roosevelt, a été cousu sur le modèle du grizzly, un ours particulièrement agressif, et qui a l’habitude de déchiqueter ses proies à coups de griffes. J’ai vite compris que, si je voulais survivre, il fallait m’abstraire du monde des adultes, c’est ainsi que j’ai émigré dans la maison en carton. Il s’agissait du grenier. Un grenier imposant, dont on avait dissimulé la poutraison sous des panneaux de Placoplatre dans l’intention de le rendre plus habitable. Le projet avait été abandonné sitôt qu’ébauché, par l’un de ces revirements dont ma mère était coutumière, et le local avait pris l’allure d’un décor théâtral inachevé où je me sentais bien, protégée des manigances et du tumulte des étages inférieurs. En dessous régnaient le chaos, la suspicion, la débauche, alors qu’ici tout n’était que paix, silence et sécurité.

Je n’allais pas à l’école. Tous les matins, un précepteur venait m’enseigner les rudiments d’une culture qui me laissait indifférente ; dès qu’il avait tourné les talons, je grimpais quatre à quatre les marches conduisant au grenier, et restais là jusqu’au soir, allongée sur le plancher poussiéreux, à regarder les rayons du soleil allumer des reflets d’argent dans les toiles d’araignée reliant les poutres. Personne ne s’est jamais inquiété de mon absence. Sans doute, même, en était-on soulagé ! Un jour, obéissant à une impulsion, j’ai dérobé dans un cagibi des pots de couleurs et des pinceaux. Sans trop savoir ce que je faisais, j’ai commencé à peindre des décors sur les panneaux vierges des cloisons. Très vite, j’ai barbouillé un paysage vénitien entraperçu dans un album évoquant l’œuvre de Canaletto : un canal, des gondoles, des palais s’émiettant dans l’eau… et sur le quai, des travestis, le visage masqué par la traditionnelle bauta. Tout cela, bien sûr, d’une grande naïveté, mais c’est ainsi que tout a commencé.
Je sais que c’est ce jour-là, dans l’odeur de poussière chaude du grenier inachevé, dans le ventre de la maison en carton, que j’ai décidé de devenir décoratrice. Au fil des années, j’ai dû peindre dix paysages successifs, les uns sur les autres, au gré de mes humeurs adolescentes. Tantôt c’était une Égypte d’image d’Épinal, pleine de momies vagabondes et de sphinx digérant au soleil, tantôt c’était un pôle Nord peuplé d’ours blancs en maraude et de beaux Inuits aux yeux bridés, nus sous leurs fourrures. Et puis le temps a passé. Mon père a disparu. Un jour, il n’est pas rentré d’une expédition à la frontière du Pakistan. On n’a jamais su ce qui lui était arrivé. Sa situation particulière (fausse identité, mandat) ne permettait pas de déclencher une procédure de recherche approfondie. Il est possible également que ma mère ait vu là l’occasion inespérée d’un « divorce » à l’amiable. Elle craignait par ailleurs de tomber sous l’accusation de recel de malfaiteur et d’atteinte à la sûreté de l’État ; n’oublions pas que Daddy n’était pas un banal braqueur de banques mais un terroriste « aux mains tachées de sang » (style journal télévisé). J’ai grandi. J’ai quitté la Suisse pour m’installer à Paris et m’inscrire aux Arts
déco. Maman m’a vue partir avec soulagement, je crois. Ses livres étaient passés de
mode, ils se vendaient moins bien. Elle avait dû restreindre son train de vie et le cercle de ses courtisans s’amenuisait. Il est vrai qu’entre-temps certains étaient morts d’overdose ou d’ivrognerie. C’est un milieu où l’on ne prend guère soin de sa santé et où l’on se persuade qu’il faut mal vivre pour bien créer. De la pure foutaise qui permet de tenir porte ouverte aux pires excès. Nous nous rencontrions à l’occasion des fêtes de Noël. Elle s’était mise à boire. Elle avait abandonné les livres pour enfants et travaillait à un album de gravures érotiques. C’était, pour les gens du village, une vieille dame scandaleuse. Une toquée qui débauchait les jeunes gars et les faisait poser nus avant de se les envoyer sur une peau d’ours mitée, devant la cheminée. Elle survivait en vendant ses toiles à des amateurs, par le truchement d’une galerie « spécialisée », à Lausanne. La dernière fois que je l’ai vue, je suis montée au grenier, mue par une sorte de pressentiment, comme si j’avais deviné que je n’aurais plus jamais l’occasion de visiter la maison en carton. J’ai éprouvé un choc. Tous mes décors avaient été recouverts de peinture noire. Caviardés. Ainsi barbouillé, le grenier avait l’aspect d’une église satanique en attente de sabbat. Je suis redescendue sans rien dire. Je n’ai posé aucune question. Je ne voulais pas savoir.

À midi, ma mère était déjà ivre, cramponnée à son verre de vodka.

- Ton père, a-t-elle ricané, il n’est pas mort. Il nous a larguées, toi et moi… Enfin, surtout toi, parce que moi je me passais très bien de sa présence. C’était un mauvais coup. Il a été aperçu au nord de l’Inde, dans un petit village au nom imprononçable. Il vivrait là, à ce qu’on dit, entouré d’une marmaille. La crasse, le tiers-monde, les amibes… ça lui a toujours plu.

J’ai demandé des précisions. Elle a été incapable d’en fournir. J’ai eu l’impression qu’elle mentait, pour me faire mal. À un moment, elle a eu cette phraseétrange

- Tu es tout de même beaucoup moins belle que moi ! Tu m’as déçue en
grandissant, je m’attendais à mieux.

Je me suis sentie dans la peau d’une jeune vache recalée à la foire agricole du comté. J’ai réclamé les affaires de Daddy, quelques objets personnels à titre de souvenirs. Elle a affirmé avoir tout jeté, même les photos. J’ai abrégé mon séjour. Le lendemain, je rentrais à Paris. C’était la dernière fois que je la voyais. Deux semaines plus tard, elle trouvait la mort dans l’incendie du chalet. Le rapport des pompiers estimait qu’elle s’était endormie dans son lit, une cigarette à la main. Mais des rumeurs ont couru, invérifiables. Au village, certains ont prétendu avoir vu mon père rôder autour de la maison à la tombée de la nuit. D’autres encore ont évoqué l’action d’un groupe d’extrémistes puritains genevois que le comportement de ma mère révoltait au plus haut point. De toute évidence, la police n’avait pas envie de creuser ; la thèse de l’accident lui convenait.Je suis incapable d’expliquer ce que j’ai ressenti. De la peine, du soulagement ? Non, de l’incrédulité, je crois. Il m’a fallu longtemps pour me persuader de la réalité des faits. Aujourd’hui encore, quand le téléphone sonne, il m’arrive de penser une fois sur cinq que c’est ma mère qui appelle. J’avais vingt-trois ans, j’étais orpheline. Orpheline d’un criminel, d’un alpiniste, d’une bonne fée, d’une sorcière et d’une putain. Ça faisait beaucoup de monde dans un seul caveau. Je dois avouer que, longtemps, j’ai espéré rencontrer mon père au hasard d’une rue, au Quartier latin. J’ai même fini par me persuader qu’il me laissait des signes : un graffiti étrange sur le chambranle de ma porte, l’impression que mon studio avait été visité en mon absence, les objets déplacés… mais ce n’étaient que des fantasmes très ordinaires. J’ai fini par réaliser que j’ignorais jusqu’à sa véritable identité. Il ne m’avait pas reconnue à ma naissance, je portais donc le nom de ma mère : Meyer. J’étais la fille de deux étrangers. Des égarés. Un fuyard perpétuel et une rêveuse impénitente. Comme toutes les filles élevées par un homme, j’étais considérée comme un garçon manqué. Mes condisciples me jugeaient peu féminine. Elles me reprochaient de ne pas exceller dans ce qu’elles considéraient comme des activités essentielles :le shopping, les ragots et l’adhésion obligatoire au club Jane Austen. Les garçons, eux, appréciaient mon absence pathologique de pudeur, ma façon d’aller droit au but, et mon incapacité à sangloter. Plus tard, ces mêmes caractéristiques me furent reprochées par les hommes que je fréquentais avec autant de force qu’elles avaient été louées dans le passé. Allez donc y comprendre quelque chose. Mes études achevées, j’ai travaillé quelque temps en France, puis, sur un coup de tête, j’ai décidé d’émigrer aux États-Unis, imitant en cela la plupart des jeunes gens de ma génération. J'ai peu de temps après mon arrivé, reçu une invitation. Sans doute l'une des seules choses que j'avais eue la chance de gagner dans ma vie. En même temps, 1 million d'invitation avait été envoyer, je n'étais pas si chanseuse au final..
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Marilyn Meyer
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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 7:43

J'ai quelques difficultés a redimensionner l'image, si quelqu'un peu m'aider (je suis vraiment mauvaise pour ça).

http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=922155steampunkportraitbyooneithood2gm3bw.jpg
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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 14:11

Bienvenue à toi !
Désolée mais ton lien n'a pas l'air valide, il me mène vers la page d'accueil de ton hébergeur ^^ Je pense que ce serait plus simple si tu postais ton image sur l'hébergeur qu'utilise le forum :3 À part ça, je l'aurai redimensionner avec plaisir haha

Bref, pas de panique ! Change moi ce petit lien et je te le ferai *-* En attendant > je pense que tu vas être validée rapidement, tout ça m'a l'air très bien x)
Encore bienvenue sur l'Eos, j'espère que tu auras l'occasion de t'amuser !
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Marilyn Meyer
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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 16:52

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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 17:02

Oui !
Voilà, je t'ai fait ça vite fait : https://i.servimg.com/u/f39/18/10/74/45/92215510.jpg
Vu les dimensions que doivent avoir l'avatar, j'ai dû pas mal couper ^^
Si ça ne te plait pas, tu pourras aller faire une commande d'avatar à Eos x)
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Marilyn Meyer
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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 17:12

Merci, mais je préfère juste une redimension. Je trouve l'avatar trop sympa pour la couper. Mais merci quand même ^^
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Sigurd Stendahl
Sigurd Stendahl
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Orientation et situation:
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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 18:11

Bienvenu !
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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 21:00

Désolée mais les dimensions actuelles de l'image ne me permettent pas de simplement la rapetisser (elle en serait totalement difforme si je ne faisais que lui donner la bonne taille sans me soucier du rapport largeur-longueur). Il faut obligatoirement la couper pour qu'elle fasse la bonne taille. ^^ Mais bref, ça m'importe peu.
Surtout, passe un bon moment sur l'Eos. (:
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Marilyn Meyer
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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 21:30

Dans ce cas, merci beaucoup ^^
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Eos
Eos
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Date d'inscription : 18/01/2013
Age : 33

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Chambre: Aucune
Orientation et situation: A voir
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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyLun 29 Juil - 23:27

Bienvenue à bord de Eos tu est validé amuse toi bien =)
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https://eos-universe.forumactif.fr
Crit-SYS
Crit-SYS
Messages : 10
Date d'inscription : 17/07/2013

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Chambre: /
Orientation et situation: Rien n'est vraiment sûre...
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MessageSujet: Re: Marilyn Meyer Marilyn Meyer EmptyMer 31 Juil - 10:42

Bienvenue.
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Marilyn Meyer

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